Le coeur historique de Stassfurt a été détruit suite à un affaissement de terrain (6 mètres) lié à d’anciennes galeries minières souterraines. C’est aujourd’hui une ville privée d’une partie de sa mémoire et de son activité économique. La tête dans les étoiles est imaginée pour le Gymnasium – collège et lycée – qui porte les espoirs d’un avenir moins sombre. C’est une école sans nom, celui-ci ayant été retiré de la façade sous le régime de la RDA. L’artiste propose d’y installer un écran LCD avec la phrase : Nous sommes les étoiles de cet univers. Chaque élève, s’il le souhaite, peut lors de son entrée actionner un dispositif et s’inscrire en tant qu’individu, avec ses propres idéaux, au sein d’une constellation en perpétuel renouvellement.

Le coeur historique de Stassfurt a été détruit suite à un affaissement de terrain (6 mètres) lié à d’anciennes galeries minières souterraines. C’est aujourd’hui une ville privée d’une partie de sa mémoire et de son activité économique. La tête dans les étoiles est imaginée pour le Gymnasium – collège et lycée – qui porte les espoirs d’un avenir moins sombre. C’est une école sans nom, celui-ci ayant été retiré de la façade sous le régime de la RDA. L’artiste propose d’y installer un écran LCD avec la phrase : Nous sommes les étoiles de cet univers. Chaque élève, s’il le souhaite, peut lors de son entrée actionner un dispositif et s’inscrire en tant qu’individu, avec ses propres idéaux, au sein d’une constellation en perpétuel renouvellement.

Le coeur historique de Stassfurt a été détruit suite à un affaissement de terrain (6 mètres) lié à d’anciennes galeries minières souterraines. C’est aujourd’hui une ville privée d’une partie de sa mémoire et de son activité économique. La tête dans les étoiles est imaginée pour le Gymnasium – collège et lycée – qui porte les espoirs d’un avenir moins sombre. C’est une école sans nom, celui-ci ayant été retiré de la façade sous le régime de la RDA. L’artiste propose d’y installer un écran LCD avec la phrase : Nous sommes les étoiles de cet univers. Chaque élève, s’il le souhaite, peut lors de son entrée actionner un dispositif et s’inscrire en tant qu’individu, avec ses propres idéaux, au sein d’une constellation en perpétuel renouvellement.

L’âne qui écoute est un projet conçu pour les abords de l’université Francke de Halle, qui revisite une légende omniprésente dans l’iconographie locale. L’artiste y interroge la notion de connaissance, superposant la culture savante universitaire et la culture populaire issue de la mémoire collective. Le projet s’incarne en une sculpture-fontaine dont la circulation d’eau évoque la pensée en action. Sur les lieux mêmes où se dressait autrefois une des portes de la ville, l’âne de la légende prête ici ses oreilles pour formaliser une autre porte symbolique.

L’âne qui écoute est un projet conçu pour les abords de l’université Francke de Halle, qui revisite une légende omniprésente dans l’iconographie locale. L’artiste y interroge la notion de connaissance, superposant la culture savante universitaire et la culture populaire issue de la mémoire collective. Le projet s’incarne en une sculpture-fontaine dont la circulation d’eau évoque la pensée en action. Sur les lieux mêmes où se dressait autrefois une des portes de la ville, l’âne de la légende prête ici ses oreilles pour formaliser une autre porte symbolique.

L’âne qui écoute est un projet conçu pour les abords de l’université Francke de Halle, qui revisite une légende omniprésente dans l’iconographie locale. L’artiste y interroge la notion de connaissance, superposant la culture savante universitaire et la culture populaire issue de la mémoire collective. Le projet s’incarne en une sculpture-fontaine dont la circulation d’eau évoque la pensée en action. Sur les lieux mêmes où se dressait autrefois une des portes de la ville, l’âne de la légende prête ici ses oreilles pour formaliser une autre porte symbolique.

Ce projet intègre à la fois les thèmes proposés sur le cahier des charges: l'amitié franco-allemande, la paix entre les peuples et les liens naturels entre le parc Herrenkrug et le fleuve, l'Elbe. L'oeuvre est constituée de 2 éléments principaux: un texte-légende inscrit en 7 langues différentes sur chacun des piliers de la pergola en demi arcs de cercle et une installation minimale lumineuse en haut du socle central : un rossignol sur socle translucide et lumineux. Les marques des tirs et des graffiti sur le socle seront laissées sans restauration. La nature reprendra ses droits via la réintroduction de plantes et fleurs médicinales autour du socle sur le sol.

Ce projet intègre à la fois les thèmes proposés sur le cahier des charges: l'amitié franco-allemande, la paix entre les peuples et les liens naturels entre le parc Herrenkrug et le fleuve, l'Elbe. L'oeuvre est constituée de 2 éléments principaux: un texte-légende inscrit en 7 langues différentes sur chacun des piliers de la pergola en demi arcs de cercle et une installation minimale lumineuse en haut du socle central : un rossignol sur socle translucide et lumineux. Les marques des tirs et des graffiti sur le socle seront laissées sans restauration. La nature reprendra ses droits via la réintroduction de plantes et fleurs médicinales autour du socle sur le sol.

Ce projet intègre à la fois les thèmes proposés sur le cahier des charges: l'amitié franco-allemande, la paix entre les peuples et les liens naturels entre le parc Herrenkrug et le fleuve, l'Elbe. L'oeuvre est constituée de 2 éléments principaux: un texte-légende inscrit en 7 langues différentes sur chacun des piliers de la pergola en demi arcs de cercle et une installation minimale lumineuse en haut du socle central : un rossignol sur socle translucide et lumineux. Les marques des tirs et des graffiti sur le socle seront laissées sans restauration. La nature reprendra ses droits via la réintroduction de plantes et fleurs médicinales autour du socle sur le sol.